"On est bien dans le 17", écrit, composé et chanté par Jean-Jacques Delaforge, est un cri d'amour à notre département.

C'est plus qu'un inventaire (non exhaustif), c'est un chant qui vient du coeur et qui émeut tous les Charentais maritmes, qu'ils y soient nés ou qui l'ont adopté, ce département qui longe l'Océan.

Jean-Jacques Delaforge est un amoureux de Georges Brassens auquel il s'identifie parfois mais auquel il veut surtout rendre hommage au cours de ses concerts.

Accompagné à la contrebasse par Christian Etcheberry et à l'accordéon et au clavier par Bruno Papot, Jean-Jacques Delaforge a réalisé cet hymne avec simplicité et en harmonie avec ce que nous ressentons tous au fil des années passées en ce terroir au parfum salé.

Mettez-vous benaise et écoutez :

Ce jeudi 27 février se déroulait le dernier conseil communautaire présidé par M. Maxime Bono.

Les finances étaient à l'ordre du jour, certes, mais c'est l'union de personnes considérées comme "opposées politiquement" qui  a apporté un air de fraîcheur sur cette réunion.

Jean-Louis Léonard a même loué "le bon sens et l'intérêt général" dont a fait preuve Maxime Bono depuis 1998 et a souhaité que son successeur ait la même ambition pour l'agglomération. 

il est réconfortant de s'apercevoir que, malgré les "affrontements politiques', les personnes peuvent s'apprécier dans un respect réciproque. 

Une pièce de 10 €uros  est sortie ce 19 septembre 2011 à l'effigie de la région Poitou-Charentes.

Les Tours de La Rochelle et le Marais poitevin en représentent les deux facettes.

Attention : plus qu'un mois pour admirer l'Angel Bear à l'entrée du port !

L' ANGEL BEAR veille à l'entrée du port

Œuvre du sculpteur Richard TEXIER,

l'ANGE OURS s'est posé sur la tour de la Chaîne.

La sculpture a suscité bien des commentaires avant même son inauguration du vendredi 13 mai 2011.

Jean-Loup BAUDUIN, Administrateur des Tours de La Rochelle

Isabelle LEMESLE, Président du Centre des Monuments nationaux

Maxime BONO, Maire de La Rochelle

Richard TEXIER, sculpteur

Tel un messager écologique, cet ours ailé en bronze rouge d'une tonne et de 2,41m. de haut, symbolise la fragilité du monde naturel et appelle au réveil des consciences.

«Rien ne serait pire que si vos œuvres suscitaient l'indifférence» a déclaré Maxime BONO au sculpteur sous le regard impassible d'un spectateur haut perché.

Pour le sculpteur, c'est un appel au secours de la planète. Cette sculpture rappelle cet ours blanc dérivant sur un bloc d'iceberg. Le rouge se veut un cri, une alerte.

Pour Isabelle LEMESLE, "ce n'est pas une provocation, c'est une résonance".

Dans le quotidien SUD-OUEST, un commentaire élogieux est adressé par Mme Elisabeth Delorme-Blaizot : «Richard Texier le place comme un signal "danger" au cœur de la mobilisation pour la planète, pour la préservation de la biodiversité, toutes deux chères au cœur des Rochelais. Il y a là une convergence qui pourrait-être saluée à La Rochelle, ville "environnementale" par excellence.
Mais plaçons-nous dans l'Histoire. Cet ours sur nos remparts semble un génie protecteur de la ville, un bateau toutes voiles ouvertes qui prend le vent et s'élance vers l'océan. IL montre la direction de tant de voyages, de découvertes et d'aventures marines.
Plaçons-nous du côté de l'art, de la beauté,de l'expression, regardons cette alliance de force, d'énergie, de légèreté, de grâce et prenons y plaisir. Il est là pour si peu de temps notre Angel Bear. C'est un porte-bonheur puisqu'il provoque les échanges, bouge les gens et les idées dans notre société si policée. Gageons que nous le regretterons notre teddy-bear aussitôt son envol. En attendant, profitons en. »

C'est en octobre prochain que l'Ours-Ange prendra son envol.

"Angel Bear" s'inscrit dans le cadre de l'opération "Monuments et Animaux" organisée par le Centre des monuments nationaux sous l'égide du ministère de la Culture.

Les monuments sont des lieux de vie pour les hommes, mais également pour les animaux qui les accompagnent

À travers toute la France, d’avril à octobre 2011, 35 d’entre eux célèbrent cette présence de l’animal avec une programmation faisant dialoguer patrimoine et art contemporain. Au cours du temps, chiens, chevaux, abeilles, oiseaux ou bien d’autres bêtes encore, ont, du château au monastère, habité ces lieux historiques.