Vous pouvez nous aider en parlant de l’association autour de vous où en affichant le document téléchargeable ici à votre lieu de travail et dans les magasins de votre quartier.
Merci pour les minous
Merci de nous aider à faire adopter nos chats et chatons, nos avons besoin de place en famille d’accueil afin de pouvoir en sauver d’autres.
Vous pouvez nous aider en parlant de l’association autour de vous où en affichant le document téléchargeable ici à votre lieu de travail et dans les magasins de votre quartier.
Merci pour les minous
Visiter le site et trouver un chat à adopter, c'est urgent pour chacun d'entre eux !
Imprimer le bulletin d’adhésion , et remplissez le.
Demandez ensuite l’adresse de l’association par mail à planningchat@yahoo.fr
ou téléphonez au 05 46 27 50 49
Si vous voulez vous joindre à nous et nous aider dans nos actions, n’hésitez pas !
Chaque adhérent compte,
et votre cotisation nous permettra de faire soigner, vacciner et stériliser d’autres petits malheureux.
Tout près de La Rochelle, Niort, Saintes ou Cognac, au milieu de la forêt de Chizé, se trouve un parc animalier pas comme les autres. Visiter le site : ZoodisséeIl est le 1er parc animalier français à être certifié ISO 14001 (norme environnementale internationalement reconnue).
"Zoodyssée est un parc dédié à la découverte de la faune sauvage européenne sur 25 ha de forêt et de prairies arborées. Un espace véritablement dédié à la balade en famille tout en acquérant des connaissances sur les animaux sauvages et les milieux naturels. La scénographie et une exposition interpellent d’ailleurs le visiteur avant même de pénétrer sur le parc."
Site touristique et pédagogique à voir et revoir dans un environnement écologique.
Vautour fauve
ZOODISSÉE en Forêt de Chizé
Ce samedi 29 janvier 2011, le quotidien "SUD-OUEST" consacre un article aux chats rochelais et à l'association "PLANNING CHAT"
C'est la Charente Libre qui le ra conte
Le chat Néo a été recueilli durant trois ans et demi à Cognac.
Il a retrouvé ce week-end sa maîtresse. Un conte de Noël animalier.
"Franchement, c'est énorme ! Trois ans et demi sans le voir, et c'est bien lui." Cindy Jouanaud n'en revient pas. Elle tient dans ses bras son petit Néo. Il avait 3 ans lorsqu'il a subitement disparu de chez elle, à l'été 2007. Elle habitait à l'époque à La Couronne. Samedi après-midi, elle a pu le récupérer à Cognac, dans le quartier de Saint-Jacques.
Entre-temps, Néo a bien grossi. Il a même changé de nom. «Je l'ai surnommé Mimi», explique Eliette Daldoss. C'est elle qui est à l'origine des retrouvailles. Mimi-Néo traînait dans le quartier depuis au moins deux ans. Ce chat errant avait pris ses habitudes chez sa voisine, propriétaire elle aussi de chats. «Il dormait dehors, mais il mangeait chez elle», raconte-t-elle. Elle l'accueillait de temps à autre. Notamment lorsque sa voisine s'absentait, et qu'elle prenait soin de ses chats. Puis en novembre, la voisine a déménagé. Mimi-Néo, et un autre compagnon d'infortune, se sont alors tournés vers Eliette Daldoss.
Possédant déjà une chatte, des perruches, des hamsters, Eliette Daldoss s'est laissée attendrir. Elle a pris le relais sans problème. «J'avais déjà remarqué qu'il était tatoué». Une remarque qu'elle avait faite à sa voisine. Eliette Daldoss est allée plus loin. Elle a alors téléphoné à la mairie. Au bout du fil, la conseillère municipale Marie-Paule Ancelin. La «Madame chat» de l'équipe élue. C'est elle qui a fait les démarches auprès d'un vétérinaire, et qui contacté la véritable propriétaire.
«Ça va nous faire drôle», reconnaissaient Eliette Daldoss et sa maman, Gilberte Girard, qui habite la maison d'à côté. Toutes deux s'étaient bien investies affectivement auprès de Mimi-Néo. «Mes petits enfants, ils vont le chercher lorsqu'ils vont venir», soupire Eliette Daldoss.
Samedi, Mimi est redevenu Néo, dans les bras de sa propriétaire. Depuis, elle a déménagé, dans une maison de Gond-Pontouvre. Là-bas, Néo retrouvera Zorro, son frère jumeau, comme en atteste une photo qu'a présentée Cindy Jouanaud. Zorro et une autre petite chatte, âgée de 3 ans et demi. Cindy l'avait reçue en cadeau de son frère, pour la consoler de la perte de Néo...
Ce jour-là, le jeune chat s'était pris la patte dans un sac plastique de grande surface, dont il n'arrivait pas à se défaire. Affolé, il était sorti en courant. Castré, vacciné, tatoué, il avait pourtant disparu. Sans que personne ne sache comment il a pu arriver jusqu'à Cognac.
Pour Marie-Paule Ancelin, ce beau conte de Noël a une morale: «Il faut bien dire aux gens qu'il faut faire stériliser et tatouer les chats. Cela résoudrait beaucoup de problèmes de voisinage.» Et ferait aussi sans doute beaucoup d'heureux.link
Animal trouvé, réagissez :
Si l'animal est tatoué et qu'il s'agit d'un chat perdu,
appelez la Société Centrale Féline: 01 55 01 08 00 ou 01 44 93 30 30
Si l'animal est taoué et qu'il s'agit d'un chien perdu,
appelez la Société Centrale Canine: 01 49 37 54 54
et si vous avez chat(s) et/ou chien(s) : FAITES LE(S) TATOUER (+ ou - 50 € )
L'Association PLANNING-CHAT a pour but la défense et la protection des chats sans maîtres.
Elle s'occupe des chats errants,
les nourrit,
les stérilisent
et leur trouve un foyer si possible.
Quelques uns des chats qui vous attendent :
à voir l'albul ADOPTION Planning-Chat_Adoptions
Le 9 septembre dernier, nous déplorions le projet de la mairie d'Ars de capturer les chats (Ars-en-Ré, La chasse aux Chats : STOP !!!!!!! ).
Aujourd'hui rien n'est réglé !
"La protection des animaux.org" fait le point.
Les chats sont toujours en grand danger.
La capture des chats d'Ars en Ré : où en est on ?
En septembre 2010, la mairie d'Ars en Ré (Ile de Ré) a décidé de procéder à la capture de chats libres sur le territoire de sa commune. Les chats devaient être trappés par un piègeur professionnel et remis au refuge de l'Ile qui est surpeuplé et ne pouvait les accueillir. Les associations locales se sont émues de ce projet et s'y sont opposées - relayant une pétition lancée par des bénévoles http://www.protection-des-animaux.org/ile-re/ - et ont proposé de remplacer la capture par une campagne de stérilisation, avec le soutien de La Fondation Brigitte Bardot.
Où en sommes-nous aujourd'hui :
Merci à tous pour votre mobilisation, la capture n'est pas abandonnée et tout le monde doit rester vigileant.La pétition est toujours active et vous pouvez la signer si vous ne l'avez pas déjà fait.
La pétition : link
Un magret de canard spécial CONTADOR
Il n'y a rien à changer à cet excellent article de Sylvain COTTIN paru dans SUD-OUEST.fr ce 18 novembre.
C'est la danse des canards, qui en sortant de la mare se secouent le bas des reins et… fument un joint ! Au lendemain de la muséification de notre gastronomie par l'Unesco, voilà donc que la justice des hommes statuait aujourd'hui sur l'alimentation de nos tendres magrets sur pattes.
Récemment surpris par la maréchaussée alors qu'il veillait tranquillement ses plans de cannabis à l'ombre du vieux bourg de la Gripperie-Saint-Symphorien, Michel vient ainsi d'être condamné à un mois de prison avec sursis par le tribunal de Rochefort. Bien qu'avouant tâter du pétard aux soirs de cafard, ce gaillard à la soixantaine campagnarde aura pourtant vite nié tout commerce illicite, promettant même aux juges que sa culture était exclusivement destinée à ses canards. « Bah oui, j'en ai 150, et depuis deux ans à partir de décembre je leur donne les feuilles à manger. Croyez-moi, y'a pas meilleur vermifuge pour eux, un spécialiste me l'a conseillé ».
L'avis du vétérinaire
Longuement cuisiné par les gendarmes au cours de son audition, le stupéfiant éleveur refusera malgré tout de livrer l'identité du nutritionniste. N'appréciant guère d'être pris pour des canards sauvages, ceux-ci iront alors toquer à la porte d'un vétérinaire qui balayera hélas aussitôt son alibi thérapeutique. « Comme pour l'homme, ça ne peut que les rendre malades, mais en aucun cas les purger », explique le praticien dans le procès-verbal que nous nous sommes procuré. Rien qu'un soupçon de toxicomanie passive donc, même si l'avocat Jean Piot tonnera à l'audience que jamais les canards de son client n'ont eu à se gratter le croupion. « Ça a l'air curieux, mais c'est sérieux, pas un seul n'a des vers et tous sont en excellente santé. Il faut demander l'avis d'un autre vétérinaire. »
Mieux que le maïs, donc, le cannabis... Au siècle de la cuisine moléculaire, pourquoi en effet ne pas imaginer accélérer ainsi la délicieuse cirrhose coin-coin par le gavage à la pelouse jamaïquaine plutôt qu'au traditionnel pop-corn gersois ? Sauf à dire que la jurisprudence rochefortaise sauvera sans doute le paysage du sud-ouest d'un profond bouleversement agricole. Et par la même sa cuisine, que l'on n'ose imaginer un jour truffée de soles farinées à la cocaïne et autres seiches à l'encre de buvards LSD.
Renchérissant aux propos du juge qui reconnut hier n'avoir jusqu'alors eu vent que de « gâteaux au cannabis », maître Piot prit enfin la salle à témoin - à décharge - en rappelant que le sort des canards charentais semble finalement bien plus enviable que celui des biquettes des Deux-Sèvres. Les Deux-Sèvres, cette redoutable contrée où l'on condamnait en effet la veille à cinq mois de prison un violeur-étrangleur de chèvres. Quant à notre herboriculteur en herbe, la peine la plus dissuasive semble d'ores et déjà avoir été purgée sous le joug de son épouse, dont on nous dit qu'elle lui vola dans les plumes sitôt son retour du poste.
Il est donc urgent de réagir.
Il faut signer la pétition demandant au Maire d'Ars-en-Ré d'annuler cette opération.
Pétition : http://www.protection-des-animaux.org/ile-re/
Rochelais, Aunisien, Saintongeais, Breton et . . . Terrien
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